Les aficionados de films fantastiques ont certainement déjà remarqué boy arrivée sur Netflix. Horse Girl, le nouveau long-métrage de Jeff Baena, y est disponible depuis le seven février. Présenté au festival du Sundance en janvier dernier, ce celluloid, qui aux premiers abords, ne paie pas de mine, se révèle une très belle surprise.
Sarah, mène une vie paisible, partagée entre la boutique où elle travaille, boy cheval et la série désuète de chasseurs de fantômes qu’elle adore. Son being tout à fait banale prend une autre tournure lorsqu’elle begin à croire que des extraterrestres la kidnappent. A première vue, ce scénario n’inspire pas forcément le The Thing ou Les Autres du deuxième millénaire. Et pourtant, la poésie et la dimension purement fantastique se dévoilent tout au long du celluloid. Si la mise en place des personnages et du décor peut sembler un peu longue, 50’atmosphère du cinema n’en demeure pas moins très particulière et se renforce à chaque minute sans que le spectateur sec’en aperçoive.
Une identité qui se construit tout au long du celluloid
L’histoire prend place de nos jours, dans une petite ville des Etats-Unis. Sarah, une jeune femme timide et sans histoire, travaille dans une boutique de tissus, se passionne pour sa jument, Willow, et une série d’adolescents de chasseurs de fantôme. Un univers assez plat, renforcé par un facial expression visuel très lisse tout en couleurs pastel et une musique tranquille que 50’on remarque à peine.
La grande strength de cette œuvre réside dans la montée crescendo de l’ambiance. Un jour Sarah se demande pourquoi son ADN ne renvoie à aucune origine et sombre peu à peu dans un délire composé d’extra-terrestres 50’ayant kidnappé. Les musiques se font alors progressivement summation stridentes, plus dissonantes. Une technique pour emmener le world avec le héros que 50’on fifty’observait aussi dans Whiplash de Damien Chazelle, lui aussi présenté au festival du Sundance half dozen ans plus tôt. Tandis que le son appuie la chute du personnage, les images gagnent en intensité. Luminosité accrue, couleurs addition tranchées, apparitions récurrentes de longs morceaux de tissus sec’efforçant de lier entre eux les différents éléments de la vie de 50’héroïne… Le spectateur se trouve alors pris, sans second’en rendre compte, dans la même spirale de doute que cette dernière.
Le caractère fantastique du film atteint boy sommet lors du rêve concluding de Sarah. Celle-ci passe alors d’un univers parallèle à un autre. De boy cheval qu’elle chérit, en passant par le personnage primary de sa série préférée jusqu’aux extra-terrestres qui fifty’enlèvent pour analyser boy corps endormi. Un passage où toute la beauté du fantastique se révèle : picture fugaces et lumineuses, scénario décousu et musique entêtantes… Tout ce qui compte pour l’héroïne s’enchaîne de façon a priori aléatoire, pour old une scène très romantique et captivante.
Une formidable Horse Girl
Interpréter la Horse Girl demandait une réelle maitrise de jeu et une grande finesse. Alison Brie, co-auteure de 50’œuvre, s’en separate brillamment. Tenant le cinema d’un bout à fifty’autre, son personnage réservé fait preuve d’une grande douceur qui se change naturellement en angoisse incontrôlable à 50’apparition de ses visions. Le passage de « jeune fille innocente » à celui de « folle hystérique » sec’avère magistralement orchestré. Alison Brie, rendue célèbre par la série Hannah Montana, confère une réelle sensibilité à Sarah, pour laquelle le spectateur peut éprouver une empathie grandissante.
Avec Horse Girl, Netflix ajoute une pépite à boy catalogue de films fantastiques. Si, comme pour tout celluloid de genre, certains avis demeurent plus mitigés à son sujet, la operation de 50’actrice principale et le exertion réalisé sur le audio pattern méritent un thousand coup de hat.